Edouard Hollandre
Nom
Edouard Hollandre
Immatriculation
Immatri 1976
Lancé en
1867
Chantier
Normand
Type
Sauvetage
Longueur
9.78 mètres
Tonnage
Motorisation
0
Patron(s)
Meillard Pierre
Edouard Hollandre à été le premier vrai canot de sauvetage à Camaret , il est installé en 1867. faisant ainsi partie des premiers canots installés en France par la Société Centrale des Naufragés,
Ce canot, construit par Augustin Normand sur des plans anglais est un classique de l’époque, long de 9,78 m sur 2,24m de large, il pèse 2175 kg à vide.
Il a toutes les qualités requises pour un canot de sauvetage, auto-redressable grâce à ses formes, insubmersible par ajout de caisses en bois servant de réserve de flottabilité, et auto-videur car il est muni de 6 puits à soupapes qui évacuent l’eau accumulée sur le pont.
Il est muni d’une voilure gréée sur deux mâts : une grand voile de 6,30m², une misaine de 8,19m² et un foc de 1,74m². Les voiles étaient utilisées au vent portant. Le canot demande 12 hommes d’équipage, 10 rameurs, un patron et un sous-patron appelé brigadier. Le premier patron de canot de sauvetage à Camaret s’appelait “Pierre Meillard”.
Le “Edouard Hollandre” avait son abri au Styvel, entre la plage du Corréjou et le fond du port. Il pouvait ainsi être mis à la mer côté plage ou côté port, suivant la marée ou la météo. Il reposait sur un chariot, et la mise à l’eau se faisait en poussant le chariot à la main, à travers les galets. La population camarétoise aidait à la mise à l’eau.
En 1882-83 une cale fut construite au bout du sillon, près de la tour Vauban. Cette cale, bien qu’un peu courte, permettait de mettre le canot à la mer plus facilement, mais il fallait encore rouler le chariot sur plus de 500 m sur le sillon, qui n’était pas aménagé.
En 1899 le “Edouard Hollandre”, après 33 ans de service, est réformé.
Ce canot, construit par Augustin Normand sur des plans anglais est un classique de l’époque, long de 9,78 m sur 2,24m de large, il pèse 2175 kg à vide.
Il a toutes les qualités requises pour un canot de sauvetage, auto-redressable grâce à ses formes, insubmersible par ajout de caisses en bois servant de réserve de flottabilité, et auto-videur car il est muni de 6 puits à soupapes qui évacuent l’eau accumulée sur le pont.
Il est muni d’une voilure gréée sur deux mâts : une grand voile de 6,30m², une misaine de 8,19m² et un foc de 1,74m². Les voiles étaient utilisées au vent portant. Le canot demande 12 hommes d’équipage, 10 rameurs, un patron et un sous-patron appelé brigadier. Le premier patron de canot de sauvetage à Camaret s’appelait “Pierre Meillard”.
Le “Edouard Hollandre” avait son abri au Styvel, entre la plage du Corréjou et le fond du port. Il pouvait ainsi être mis à la mer côté plage ou côté port, suivant la marée ou la météo. Il reposait sur un chariot, et la mise à l’eau se faisait en poussant le chariot à la main, à travers les galets. La population camarétoise aidait à la mise à l’eau.
En 1882-83 une cale fut construite au bout du sillon, près de la tour Vauban. Cette cale, bien qu’un peu courte, permettait de mettre le canot à la mer plus facilement, mais il fallait encore rouler le chariot sur plus de 500 m sur le sillon, qui n’était pas aménagé.
En 1899 le “Edouard Hollandre”, après 33 ans de service, est réformé.
Nous recherchons plus d'informations sur le navire Edouard Hollandre merci de nous contacter à J'ai des renseignements sur ce bateau
Aquarelle de Jean Claude Derrien représentant le Edouard Hollandre. (Merci Jean Claude)
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